Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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ERA B-C, voiture F1 de 1950
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La ERA B/C, photo d'époque, cet ancien véhicule Formule 1 fut fabriqué de 1950 à 1951.
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En 1946, on ressort les voitures d’avant-guerre, Mays est sacré champion de course de cote de Grande-Bretagne 1947 et 1948.
En 1952, ERA lance une formule 2, la « G », à moteur Bristol. Exceptionnellement, en championnat du monde des conducteurs, l’actuelle F1, seules les F2 sont acceptées.
- En fin de saison, les F2 sont revendues à Bristol, elles serviront de base à la 450, qui remportera la catégorie 2l aux 24 heures du Mans 1953.
- Après cela, il n’y aura plus d’ERA en course.
L’Anglais Raymond Mays en 1931, rêve de faire remonter la Grande-Bretagne sur les podiums de Grand Prix et fonde en 1933 ERA, English Racing Automobile.
- Trois types d’ERA sont proposées à la vente, le type 6 cylindres à compresseur : R1 et R3, les évolutions seront baptisées A, B puis C d’où des R3A..... n’importe qui peut acheter une ERA.
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " ERA ", Royaume Uni 1933 - 1954.
L’Anglais Raymond Mays avait eu une bonne idée, le tournant a lieu en 1931, lorsque Mays se fait préparer une Riley 1,5l par Peter Berthon, sur un dessin Muray Jamieson. Mays rêve de faire remonter la Grande-Bretagne sur les podiums de Grand Prix et fonde en 1933 ERA (English Racing Automobile.).
Trois types d’ERA sont proposées à la vente, le type correspondant à la cylindrée du 6 cylindres à compresseur : R1 et R3, les évolutions seront baptisées A, B puis C d’où des R3A ou des R2C. Il n’y a pas d’équipe d’usine et n’importe qui peut acheter une ERA.
Toute première apparition, le Tourist Trophy 1934, où Mannin Beg renonce. Mais il s’impose ensuite à Donington, ouvrant le palmarès d’ERA.
En 1935, le Sud-Africain Pat Fairfield remporte le « TT » sur une R1 et Donington sur une R2 !. Sur le continent, les ERA moissonnent, tandis que les « B » apparaissent. Mays s’imposera lui-même sur le ring. En 1936, un jeune aristocrate Thaïlandais, Birabongse (alias « Prince Bira ») triomphe avec à Monaco.
En 1937, l’évolution « C », qui bénéficie de suspensions signées Porsche et de freins hydraulique rafle tout avec Fairfield, Bira, Mays et bien d’autres. Mais dés 1938, les Maserati les battent à leur propre jeu. ERA manque d’argent et Humphrey Cook, principal actionnaire, se retire.
Les podiums deviennent plus rares. Une « E » est construite, mais Dobson la crashe à Albi. En parallèle, Mays et Berthon créent Automobile Developments, dont le projet de voiture de Grand Prix est stoppé par la guerre. Durant la guerre, ERA fabrique des équipements pour l’aéronautique.
En 1946, on ressort les voitures d’avant-guerre, Mays est sacré champion de course de cote de Grande-Bretagne 1947 et 1948.
En 1952, ERA lance une formule 2, la « G », à moteur Bristol. Exceptionnellement, en championnat du monde des conducteurs, l’actuelle F1, seules les F2 sont acceptées. Malgré la présence du jeune Stirling Moss derrière le volant, les résultats des ERA sont modestes.
En fin de saison, les F2 sont revendues à Bristol. Elles serviront de base à la 450, qui remportera la catégorie 2l aux 24 heures du Mans 1953.
Après cela, il n’y aura plus d’ERA en course.
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